l’affaire DSK, un retour aux enfers sur Netflix


CRITIQUE – Dans une série en quatre épisodes, Jalil Lespert décrit cliniquement la chute de l’ancien directeur général du FMI. Un film avec des témoignages inédits des enquêteurs et dans lequel, la victime présumée, Nafissatou Diallo, livre sa vérité.

La lecture d’une affaire judiciaire, aussi retentissante soit-elle, est prisonnière du temps et souvent otage de ses circonstances. Sans doute est-ce pour cela que Jalil Lespert a décidé de rouvrir le dossier DSK neuf ans après les faits. Une affaire du Sofitel qui, faut-il le rappeler, n’a jamais été jugée : un accord financier a été conclu entre la femme de chambre Nafissatou Diallo et Dominique Strauss-Kahn, son agresseur présumé le 14 mai 2011 (elle aurait reçu un million et demi de dollars pour cesser les poursuites).

« Tout le monde a un avis, a vu, a entendu quelqu’un dire quelque chose, dans une sorte de mêlée générale qui empêche l’objectivité. Dès le départ, on voulait être le plus objectif possible. Clarifier des faits », a confié l’acteur et réalisateur. Outre des témoignages inédits des enquêteurs, il est inutile de chercher des révélations fracassantes dans les quatre épisodes de cette série coproduite par Netflix et l’agence Capa. L’intérêt est ailleurs. Notamment

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