SAN JOSÉ : Premier ministre Benjamin Netanyahou commence un voyage aux États-Unis en Californie pour parler de technologie et intelligence artificielle avec l’homme d’affaires milliardaire Elon Musc.
Le dirigeant israélien a publié lundi sur la plateforme de médias sociaux X de Musk, anciennement connue sous le nom de Twitter, qu’il prévoyait de discuter avec le PDG de Tesla « de la manière dont nous pouvons exploiter les opportunités et atténuer les risques de l’IA pour le bien de la civilisation ».
La visite très médiatisée de Netanyahu dans la région de la baie de San Francisco intervient à un moment où Musk est accusé de tolérer des messages antisémites sur sa plateforme de médias sociaux, tandis que Netanyahu est confronté à une opposition politique dans son pays et à l’étranger. Les manifestants se sont rassemblés tôt lundi devant l’usine de Fremont, en Californie, où Tesla fabrique ses voitures.
Des centaines de milliers d’Israéliens ont participé à neuf mois de manifestations contre le projet de Netanyahu de réformer le système judiciaire israélien. Ces protestations se sont propagées à l’étranger, avec des groupes d’expatriés israéliens organisant des manifestations lors des visites de Netanyahu et d’autres membres de son cabinet.
Pendant ce temps, la Ligue Anti-Diffamation, une importante organisation juive de défense des droits civiques, a accusé Musk d’avoir permis à l’antisémitisme et aux discours de haine de se propager sur X, en partie en amplifiant les messages des néo-nazis et des suprémacistes blancs qui veulent interdire la ligue en interagir avec eux sur la plateforme.
Dans un article du 4 septembre, Musk a affirmé que la ligue « essayait de tuer cette plateforme en l’accusant faussement, ainsi que moi-même, d’être antisémites ». Dans d’autres articles, il a déclaré que la ligue était responsable d’une baisse de 60 % des revenus de X.
Le groupe a rencontré ce mois-ci la directrice générale de X, Linda Yaccarino. Musk et Yaccarino ont récemment publié des messages affirmant qu’ils s’opposent à l’antisémitisme.
Depuis la Californie, Netanyahu se rend à New York, où il doit s’adresser à l’Assemblée générale des Nations Unies et rencontrer le président Joe Biden et d’autres dirigeants mondiaux, a indiqué son bureau. Parmi eux figurent le chancelier allemand Olaf Scholz, le président turc Recep Tayyip Erdogan et le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, ainsi que le président sud-coréen Yoon Suk Yeol et le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
Netanyahu affirme que le plan de refonte judiciaire est nécessaire pour limiter les pouvoirs des juges non élus, que lui et ses alliés qualifient de libéraux et trop interventionnistes. Les critiques affirment que son plan est une prise de pouvoir qui détruira le système de freins et contrepoids du pays et le poussera vers un régime autocratique.
Des personnalités de premier plan de la communauté influente de la haute technologie en Israël ont joué un rôle de premier plan dans les manifestations. Ils affirment que l’affaiblissement du système judiciaire nuira au climat des affaires du pays et fera fuir les investissements étrangers. La monnaie israélienne, le shekel, a plongé cette année, signe d’un affaiblissement des investissements étrangers.
Le dirigeant israélien a publié lundi sur la plateforme de médias sociaux X de Musk, anciennement connue sous le nom de Twitter, qu’il prévoyait de discuter avec le PDG de Tesla « de la manière dont nous pouvons exploiter les opportunités et atténuer les risques de l’IA pour le bien de la civilisation ».
La visite très médiatisée de Netanyahu dans la région de la baie de San Francisco intervient à un moment où Musk est accusé de tolérer des messages antisémites sur sa plateforme de médias sociaux, tandis que Netanyahu est confronté à une opposition politique dans son pays et à l’étranger. Les manifestants se sont rassemblés tôt lundi devant l’usine de Fremont, en Californie, où Tesla fabrique ses voitures.
Des centaines de milliers d’Israéliens ont participé à neuf mois de manifestations contre le projet de Netanyahu de réformer le système judiciaire israélien. Ces protestations se sont propagées à l’étranger, avec des groupes d’expatriés israéliens organisant des manifestations lors des visites de Netanyahu et d’autres membres de son cabinet.
Pendant ce temps, la Ligue Anti-Diffamation, une importante organisation juive de défense des droits civiques, a accusé Musk d’avoir permis à l’antisémitisme et aux discours de haine de se propager sur X, en partie en amplifiant les messages des néo-nazis et des suprémacistes blancs qui veulent interdire la ligue en interagir avec eux sur la plateforme.
Dans un article du 4 septembre, Musk a affirmé que la ligue « essayait de tuer cette plateforme en l’accusant faussement, ainsi que moi-même, d’être antisémites ». Dans d’autres articles, il a déclaré que la ligue était responsable d’une baisse de 60 % des revenus de X.
Le groupe a rencontré ce mois-ci la directrice générale de X, Linda Yaccarino. Musk et Yaccarino ont récemment publié des messages affirmant qu’ils s’opposent à l’antisémitisme.
Depuis la Californie, Netanyahu se rend à New York, où il doit s’adresser à l’Assemblée générale des Nations Unies et rencontrer le président Joe Biden et d’autres dirigeants mondiaux, a indiqué son bureau. Parmi eux figurent le chancelier allemand Olaf Scholz, le président turc Recep Tayyip Erdogan et le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, ainsi que le président sud-coréen Yoon Suk Yeol et le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.
Netanyahu affirme que le plan de refonte judiciaire est nécessaire pour limiter les pouvoirs des juges non élus, que lui et ses alliés qualifient de libéraux et trop interventionnistes. Les critiques affirment que son plan est une prise de pouvoir qui détruira le système de freins et contrepoids du pays et le poussera vers un régime autocratique.
Des personnalités de premier plan de la communauté influente de la haute technologie en Israël ont joué un rôle de premier plan dans les manifestations. Ils affirment que l’affaiblissement du système judiciaire nuira au climat des affaires du pays et fera fuir les investissements étrangers. La monnaie israélienne, le shekel, a plongé cette année, signe d’un affaiblissement des investissements étrangers.