«Instants classiques N°58»: Clic-clac, voilà Spyres!


LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – Disques, opéra, concerts, livres. Toute l’actualité du classique, par Thierry Hillériteau.

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Michaël Spyres n’a pas fini d’enchanter la capitale avec son premier Florestan à l’Opéra Comique, qu’il crée déjà de nouveau l’événement, au disque cette fois-ci, avec un premier album solo pour Érato qui dynamite tous les cadres habituels de la tessiture. L’occasion de mieux nous enivrer de son timbre protéiforme, capable de passer sans sourciller du contre-ré du Postillon de Longjumeau à la sérénade de Don Giovanni, ou la grave du redoutable «ah si per voi gia sento» d’Othello, de Rossini. Jubilatoire.

Tout aussi enivrant, le dernier opus de Léa Désandre et de l’ensemble Jupiter nous entraîne sur les traces des amazones, muses de nombreux compositeurs de l’Italie ou de la France baroques. Tandis que Leonardo Garcia Alarcon nous livre (chez Alpha), une nouvelle version de L’Orphée de Claudio Monteverdi, dont le caractère délicieusement méditerranéen et le sens du théâtre la classent d’ores et déjà parmi les versions de référence. D’une mythologie à l’autre, nous en profiterons

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