L’horreur, l’aviron et le rap, stars de la fin de compétition du festival de Deauville


La sélection de cette 47e édition est assez disparate. Western, maison hantée, compétitivité à l’université, thriller vengeur sont au programme avec quelques fulgurances et des déceptions. Ce qui complique la tâche du jury présidé par Charlotte Gainsbourg et dont le palmarès est attendu ce samedi.

De notre envoyée spéciale à Deauville,

Après le glamour d’un week-end qui réunissait sur le grand écran du palais des congrès de Deauville(et parfois physiquement sur les planches) des vétérans d’Hollywood que sont Johnny Depp, Nicolas Cage et Oliver Stone, le 47e festival du cinéma américain a offert aux cinéphiles qui s’embarquaient pour la semaine un concentré de genre et une plongée dans une compétition très hétérogène. Le coronavirus ayant suspendu les tournages plus longtemps outre-Atlantique, le vivier dans lequel pouvait piocher le directeur de Deauville Bruno Barde était moins fastueux que l’an passé où les fidèles s’étaient régalés devant Menacer, Le son du métal qui avaient connu une belle carrière aux Oscars. Sans oublier les pépites Le Nid, L’Assistante, Première Vache ou Oncle Frank.

Les festivaliers ont été cueillis par les frissons du film d’horreur La Proie d’une ombre de David Bruckner, où la figure de la maison hantée est une excuse pour explorer – avec justesse – le poids

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