Pour fêter sa 21e édition, le festival Marseille Jazz des Cinq Continents donne carte blanche au compositeur. Il y poursuit son exploration multisensorielle.
Musicien, compositeur de bandes originales, arrangeur, performeur… Christophe Chassol est de ces esprits débordants que l’on ne peut claquemurer dans une case. Avec cette carte blanche, «Chassol and friends», le 17 juillet au Théâtre Silvain, le touche-à-tout aux faux airs de Basquiat redouble de créativité et invite ses amis – le saxophoniste Thomas de Pourquery, le flûtiste Jocelyn Mienniel et la vocaliste Cynthia Abraham – à pénétrer dans son monde.
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À ses débuts, nul n’aurait parié sur le devenir de ce savant fou, dont l’univers baladant entre pop, jazz et électro, est fait de virées sensorielles entre sons et images. S’il collabore avec des artistes comme Phoenix ou Sébastien Tellier, c’est sa rencontre avec Bertrand Burgalat, en 2012, patron du label de pop expérimentale Tricatel, qui lui permet de signer son premier album X-Piano sous son nom. «On s’est bien trouvés avec Bertrand, reconnaît-il aujourd’hui. Il a été le premier à comprendre ce que je faisais.»
Le cinéma a cette capacité de tout réunir. Le décor, la musique, la comédie, le montage… C’est un terrain de jeu infini.
Christophe Chassol
Car Christophe Chassol a
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