Montpellier Danse, le festival de tous les possibles


Troupes parisiennes ou de région, performances, chorégraphies avec acrobates ou vidéo: l’événement continue de révéler des talents et de soulever des révolutions.

Montpellier Danse a 41 ans. La Batsheva Dance Company, avec une nouvelle pièce de son génial chorégraphe Ohad Naharin, devait marquer l’ouverture de cette édition. La compagnie a été interdite de voyage, pour cause de pandémie. C’est donc une pièce du chorégraphe Arkadi Zaides, suivie de la création de Rachid Ouramdane, nouveau directeur du Théâtre de Chaillot à Paris, qui ont ouvert le festival. Le lendemain, Fabrice Ramalingom incarnait la présence d’une compagnie de région en créant Frérocité. Et Daina Ashbee donnait une performance.

Quatre spectacles et quatre formes radicalement différentes, manière de prouver que l’ADN de ce festival qui, au cours de sa longue carrière, a beaucoup révélé de talents et soulevé quelques révolutions, reste intact. Montpellier Danse est le festival de tous les possibles.

Zaides donc, ouvre le bal, avec Necropolis. Une vidéo d’une heure qui évoque la sépulture des migrants que la caméra découvre en agitant sur la carte d’Europe la petite main de Google puis

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