Prince Harry abandonné par la famille royale : une « indifférence totale » face à ses troubles psychologiques


C’est un mystère de plusieurs décennies qui risque de fuiter. Alors que la famille royale d’Angleterre garde précieusement ses secrets dans l’enceinte du palais de Buckingham, le prince Harry a décidé de parler… pour ne plus s’arrêter. Echaudé par son passage auprès d’Oprah Winfrey, lors d’une interview exclusive diffusée au mois de mars dernier sur la chaîne CBS, le Britannique de 36 ans s’est à nouveau allier à elle. Le fruit de leur travail, une série sur la santé mentale intitulée The Me You Can’t See, disponible sur AppleTV+.

On le sait, le prince Harry et son épouse Meghan Markle se sont désolidarisés de la famille royale britannique en s’envolant vers d’autres horizons. Le duc et la duchesse de Sussex vivent paisiblement à Montecito (Californie) avec leur fils Archie (2 ans) depuis juillet dernier… sans oublier, ni l’un ni l’autre, ce qu’ils ont pu subir en Angleterre. D’autant plus qu’avant de prendre une décision aussi radicale, le fils de Lady Di avait demandé de l’aide à son entourage, sentant qu’il souffrait de troubles psychologiques persistants à cause de l’acharnement de la presse médiatique, au même titre que son épouse – elle avait avoué avoir songé à mettre fin à ses jours en 2019.

Je pensais que ma famille nous aiderait

« Je pensais que ma famille nous aiderait, confie-t-il dans une séquence issue de la série. Mais chaque demande, requête ou avertissement se frottait à un silence ou une indifférence totale. On a essayé de faire en sorte que ça marche pendant quatre ans. On a tout fait pour rester là-bas et continuer à assurer nos rôles. Mais ça devenait très dur pour Meghan. » Le prince Harry souffre de troubles psychologiques, dont une peur phénoménale de l’abandon, depuis qu’il a perdu sa mère en 1997, lorsqu’il avait 12 ans. Il était hors de question qu’il laisse son épouse souffrir dans des conditions similaires.

Ça n’a aucun sens !

« Quand j’étais plus jeune, mon père nous disait, à William et moi, que ça avait été la même chose pour lui, et que ça serait la même chose pour nous, poursuit-il à propos de l’agressivité excessive des journaux britanniques. Ça n’a aucun sens. Ce n’est pas parce que vous avez souffert que vos enfants doivent souffrir aussi. Ça devrait même être le contraire. Faites tout ce que vous pouvez pour transformer les mauvaises expériences que vous avez vécues en quelque chose de positif. » Voilà qui devrait, au moins, mettre à l’abri le jeune Archie et sa petite soeur, qui devrait très bientôt voir le jour…

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