splendeurs et misères de The Handmaid’s Tale


LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – Le mauvais départ d’une série culte, une hôtesse de l’air qui n’a pas froid aux yeux, le New York LGBT des années 80, des nouvelles de Westeros et de ses dragons. Toute l’actualité des séries, les pépites et les déceptions, par Constance Jamet.

Chers abonnés,

Finalement, j’ai été absente plus longtemps que prévu. Ce n’est pas faute de séries à évoquer (bien au contraire). Mais j’ai eu besoin de faire une petite pause dans les visionnages, après la tornade des Oscars. Puis, j’ai été convoquée de manière assez impromptue (comme toujours) au centre de rééducation des Hauts-de-France où je fais l’apprentissage de la conduite pour une troisième session d’entraînement.

Vie personnelle mise à part, cette quinzaine a été riche. Impossible d’être exclusive. Je m’appesantirai sur mes chouchous. Retour en demi-teinte à mes yeux d’une série culte The Handmaid’s Tale sur OCS. TF1 a sorti l’artillerie lourde avec le tonitruant HPI qu’on ne présente plus et que je dois d’urgence rattraper (décidément cette newsletter est un vendredi confession). La Une a aussi mis sur Salto son prochain gros succès Plan B , récit familial et fantastique avec Julie de Bona en mère en quête de seconde chance. Deux feuilletons américains ont aussi fait leur début :

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