Françoise Hardy envisage d’avoir recours à l’euthanasie : son fils Thomas Dutronc sceptique


Le fils de Jacques Dutronc et Françoise Hardy était sur le plateau d’Anne-Élisabeth Lemoine aux côtés de Michel Cymes et Muriel Robin. Ensemble, ils ont évoqué le difficile sujet de l’euthanasie. Une conversation que Thomas Dutronc a déjà eu au sein de sa famille puisque sa grand-mère maternelle, Madeleine a été frappée par la maladie.« Elle a eu la maladie de Charcot, et à partir d’un moment, elle ne pouvait plus faire sa toilette, se nourrir, elle n’était plus du tout indépendante, même aller aux toilettes toute seule, et là elle disait, que le jour où ça lui arriverait, elle aimerait disparaître« , a-t-il révélé, ajoutant qu’elle avait pu se faire euthanasier par un médecin, à seulement 70 ans.

Une mère poursuivie par les soucis de santé

Une tranche de vie difficile pour le chanteur de 47 ans qui a poursuivi la discussion en évoquant sa mère, Françoise, elle aussi victime de graves ennuis de santé. « Quand elle a eu des problèmes récemment, elle disait ‘bon là, c’est terminé », mais moi j’étais là pour dire ‘attends !’ Par exemple, dans le cas de ma mère, elle est très comme ça. Si c’est pour souffrir, pour faire de l’acharnement thérapeutique, elle préfère en finir ! », a avoué Thomas Dutronc.

Une mère dont il est très proche et dont le cancer semble en rémission, comme il l’indiquait il y a quelques mois. Néanmoins, il la connaît parfaitement et sait qu’elle peut facilement baisser les bras et donc se tourner vers des solutions radicales. « Elle va très vite à dire ça. Elle, c’est l’excès inverse. Elle irait trop vite à faire l’euthanasie ! », déplore le musicien.

La chanteuse de 77 ans a connu plusieurs problèmes de santé dans sa vie. Touchée notamment par un cancer du pharynx, elle a subi de nombreuses interventions qui ont laissé de lourdes séquelles comme elle l’expliquait récemment. Interrogé sur la possible volonté de sa mère de mettre fin à ses jours de manière assistée, Thomas Dutronc estime qu’il n’a pas à l’en empêcher, expliquant « qu’il ne faisait pas partie des enfants qui donnent des ordres à leurs parents. »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*