Comme pour tous les forts en thème, il faut connaître les codes, voire le jargon d’un milieu. Peu connaissent l’existence du musée de l’École polytechnique, créé en 2018 à Palaiseau, qui abrite pourtant des collections retraçant plus de 226 ans de son existence. Il s’appelle le Mus’X (prononcez «musix») et cette collection inédite de près de 2000 pièces issues des collections scientifiques, historiques et artistiques est désormais accessible en ligne, bénéficiant de tout l’art du storytelling du monde connecté.

Depuis dix ans, Google Arts & Culture, autre repaire d’ingénieurs et de «X», travaille avec plus de 2000 institutions dans 80 pays. La plateforme de partage a commencé avec 7 musées en 2011 (le Château de Versailles, Les Offices à Florence, l’Ermitage à Saint-Pétersbourg). Depuis le 11 mars, l’École polytechnique et Google Arts & Culture sont associés pour dévoiler une facette inconnue de ce bastion des esprits à tous les publics, même ceux dont le QI est inférieur à 130.

À lire aussi :Polytechnique au fil du XXe siècle, l’étrange destin de l’excellence scolaire

Comme pour