Françoise Hardy dans des « situations inavouables » avec Jacques Dutronc : elle évoque ses fantasmes


C’est une histoire d’amour pas comme les autres. Entre 1967 et 1991, Françoise Hardy et Jacques Dutronc se sont éperdument aimés, formant l’un des couples les plus emblématiques des années yéyé. De leur union est né Thomas, en 1973. Mais derrière l’image d’une famille qui fait rêver, la relation entre Françoise Hardy et Jacques Dutronc s’effiloche, la faute à de nombreuses infidélités, leur carrière respective ou encore une fausse couche. Résultat, dix ans après leur mariage, le couple se sépare. Les deux chanteurs décident toutefois de rester mariés et semblent toujours aussi indissociables l’un de l’autre aujourd’hui. La preuve, Françoise Hardy ne peut échapper à des questions sur leur duo lors d’interviews.

D’ailleurs, elle a profité d’une curiosité de nos confrères de Paris Match, dans leur numéro paru jeudi 18 mars 2021, pour révéler la signification de son titre Tabou, sortie en 1982. « Cette chanson, qui me fait rire, évoque discrètement et avec humour des situations inavouables dans lesquelles Jacques a souhaité me mettre avec lui« , a-t-elle confié. Françoise Hardy fait alors référence à leur vie sexuelle, marquée par les nombreux fantasmes de Jacques Dutronc pour lesquels la chanteuse avait un sentiment plutôt mitigé. « J’étais très heureuse qu’il me fasse entrer dans ses fantasmes, mais je ne m’y pliais que pour lui car, contrairement à ce qu’il espérait, ça ne m’excitait pas beaucoup« , a-t-elle admis.

Il faut dire que le père de Thomas Dutronc ne manquait pas d’imagination pour pimenter leur vie intime, comme on peut le comprendre à travers le texte de Tabou. « Où voulez-vous que l’on fasse encore joujou, à se mettre sens dessus dessous. Quel prétexte allons-nous laisser en plan, bureau et appartement ? Surtout trouver des idées pour que nos jeux puissent progresser, jeux à dormir debout, à rendre fou, je me l’avoue, pas vous, où pas trop tard, et avec quels accessoires, dans quel bouge, dans quel bar, nous voir, sous quel nom, et dans quelle situation inventer d’autres façons ?« . Des paroles qui ont désormais tout leur sens !

L’interview de Françoise Hardy est à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro de Paris Match, en kiosques le jeudi 18 mars 2021.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*