une sélection dominée par Netflix mais digne d’intérêt


Les nominations pour les récompenses américaines ont été dévoilées lundi. Verdict le 25 avril.

On avait laissé les Oscars en pleine euphorie, avec Parasite de Bong Joon-ho récompensé de la statuette du meilleur film. Une première pour une œuvre non anglophone et un doublé spectaculaire pour le cinéaste sud-coréen après sa palme d’or. Un an plus tard, le Festival de Cannes n’a pas eu lieu, le Covid-19 a vidé les salles de cinéma et l’industrie a le moral en berne. Mais il se pourrait qu’on entende de nouveau parler coréen à Los Angeles à l’occasion de la 93e édition des Oscars, le 25 avril prochain.

Minari, du Coréano-Américain Lee Isaac Chung, fort de ses six nominations, a une belle carte à jouer. Cette jolie chronique d’une famille sud-coréenne dans l’Arkansas des années 1980, en partie autobiographique, grand prix et prix du public au Festival de Sundance en 2020, devrait sortir en France dès la réouverture des cinémas. Tout comme Nomadland, de Chloé Zhao, avec Frances McDormand, grand favori après son lion d’or à Venise et sa victoire aux Golden Globes. The Father, du Frenchie

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