La 32e édition du festival du film français a ouvert mardi soir à Sydney. Y sont visibles, entre autres, «Aline» et «Eiffel» en première mondiale.
Déconfiner la culture, c’est l’appel que viennent de lancer une vingtaine de professionnels du secteur à Emmanuel Macron. En Australie, bien moins tourmentée que la France par la pandémie de coronavirus, c’est déjà une réalité depuis plusieurs mois. Même si cela peut sembler surréaliste vu de France, la 32e édition du Festival du film français en Australie a été ouverte mardi soir en grande pompe, dans les élégants jardins de l’université Notre-Dame.
Pour siroter une coupe de champagne entre ces vénérables bâtiments en pierre de taille, une tenue correcte est exigée. Mais le port du masque, lui, est facultatif. Elsa, une Française installée à Sydney, se rend bien compte que ce qui était relativement banal l’an dernier est aujourd’hui un véritable privilège. «On a beaucoup de chance de pouvoir vivre quasiment normalement en Australie. Et on pense beaucoup à nos proches en France, qui n’ont malheureusement pas cette chance.»
À lire aussi :Covid-19: extension de 3 mois de la fermeture des frontières australiennes
Mais les plus heureux, ce soir, ce sont les organisateurs de ce festival,
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 66% à découvrir.
.