Dialogue idéal entre les artistes et le Palais de la Porte Dorée


Pour sa quatrième édition, le festival l’envers du décor devient numérique et transforme le bâtiment et ses ornementations en théâtre.

Suivre des artistes et passer de l’autre côté du décor. L’invitation séduit. Elle est d’autant plus ensorcelante qu’elle se déroule entre les murs du Palais de la Porte Dorée, où l’Élysée vient de nommer un nouveau directeur en la personne de Pap Ndiaye, historien spécialiste d’histoire sociale des États-Unis et des minorités. Le bâtiment, édifié en 1931 comme Musée des colonies, fête cette année ses 90 ans. Le nouveau directeur de l’établissement public a pour mission d’engager de nouveaux projets qui assurent le rayonnement national et international notamment dans les pays du monde d’où sont issus les immigrants depuis le XIXe siècle. Il devra aussi redéfinir le parcours du Musée de l’immigration. Et valoriser le patrimoine exceptionnel du palais. Celui-ci assemble certains des plus grands talents de l’Art déco.

Une luxuriante forêt de sculptures et de fresques

De la façade à colonnade, dessinée par Albert Laprade, à la terrasse ponctuée de lanternons, aux dix panneaux de laque conçus par Jean Dunand et le mobilier en placage de palissandre,

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