Natoo victime de « troubles alimentaires » : « J’ai fait très jeune des régimes drastiques »


En ce moment, Natoo enchaîne les projets. Pour faire la promotion de la sortie de son magazine parodique, Icônne 2 (ed. Michel Lafont) et de la sortie de la série Sam (TF1) – dans laquelle elle donne la réplique à Fred Testot -, la vidéaste a accordé un entretien à Gala. L’occasion pour l’ancienne policière d’en dire plus sur son adolescence.

Dans les pages d’Icônne 2, Natoo n’hésite pas à dénoncer le sexisme des magasines féminins et ses diktats comme devoir « sourire tout le temps », « être mince et tonique en toutes circonstances même après un accouchement« . « J’ai souffert adolescente de certaines injonctions. Je me comparais à ces femmes parfaites. J’ai fait très jeune, vers 16-17 ans, des régimes drastiques. L’un d’entre eux recommandait de ne manger que de la soupe aux choux et je l’ai suivi jusqu’à m’affaiblir. J’ai aussi connu des troubles alimentaires« , déplore-t-elle auprès de nos confrères. Aujourd’hui, elle met un point d’honneur à faire de la prévention auprès de ses fans, particulièrement parce qu’elle est suivie par les plus jeunes.

Cet entretien est également l’occasion pour Natoo d’en dire plus sur sa vie privée. L’ancienne compagne de Kemar est aujourd’hui en couple « avec un réalisateur » dont elle tait le nom. En revanche, elle s’épanche un peu plus sur son enfance et la présence de sa mère, que ses abonnés connaissent bien. Cette Polonaise « a suivi un homme par amour et il est mort d’une cirrhose du foie. Puis elle a rencontré mon père, qui est parti lorsque j’avais 4 ans. Elle m’a ensuite élevée seule, se levant à 4 heures du matin pour aller travailler au Duty free de Roissy. Et malgré cela, elle a toujours su impulser de la joie dans nos vies. »

Dans la carrière de Natoo, sa mère a toujours été d’un soutien inconditionnel, notamment lorsqu’elle a voulu quitter la police. « Elle voyait bien que je ne m’épanouissait pas. J’ai fait ce métier pour sauver des gens, or, lorsque nous intervenions, le mal était déjà fait. Nous ne pouvions que constater la tristesse et le dépit des victimes. Par ailleurs, le commissaire m’avait convoquée car je ne mettais pas assez d’amendes ! », s’est-elle souvenue.

Retrouvez l’entretien de Natoo en intégralité dans le dernier numéro de Gala.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*