D’Angers à Gérardmer, plutôt que de supprimer les événements, les directeurs les organisent sur internet.
Exister coûte que coûte malgré la pandémie: tel semble être le mot d’ordre de plusieurs festivals dédiés au septième art ce mois-ci. Que ce soit pour les plus petits, comme les Cinglés du cinéma, foire de collectionneurs du septième art, à Argenteuil (du 29 au 31 janvier), celui du court-métrage à Clermont-Ferrand (fin janvier).
On s’est adaptés, on a appris à travailler d’une autre façon pour que le public ne soit pas privé de films
Claude-Éric Poiroux, délégué général et directeur artistique du festival Premiers plans d’Angers
Ou les plus attendus: la 33e édition du festival Premiers plans d’Angers, qui s’ouvre aujourd’hui et le 28e Festival du film fantastique de Gérardmer, que son directeur Bruno Barde voit comme «un pas pour le maintien de l’art dans l’ère de l’image, qui est une nouvelle tendance de notre civilisation» (du 27 au 31 janvier). Tous ont décidé de se dérouler en ligne au lieu d’être supprimés ou reportés à une date aléatoire.
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«On s’est adaptés, on a appris à travailler d’une autre façon pour que le public ne soit pas privé de films», indique Claude-Éric Poiroux, délégué général et directeur artistique du festival Premiers plans d’Angers. Présidé cette année par Pierre Salvadori
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