Meghan Markle au tribunal ? La duchesse tente tout pour s’éviter un douloureux procès


Infligeant un revers à Meghan Markle, la justice avait autorisé en septembre le Mail on Sunday à appuyer sa défense sur Finding Freedom, une récente biographie de Meghan et du prince Harry, revenant sur l’éloignement des Sussex de la monarchie britannique. Une décision sans précédent qui a grandement secoué la Firme, il y a maintenant un an. Les avocats d’Associated Newspapers avaient affirmé que l’ex-actrice de 39 ans avait « coopéré avec les auteurs » de cet ouvrage, qui fait référence à la lettre pour la diffusion de laquelle ils sont poursuivis, ce qu’elle nie.

Une défense organisée depuis la Californie

Harry, dont la mère Diana est morte poursuivie par des paparazzis en 1997 à Paris, a engagé des poursuites judiciaires séparées contre un autre tabloïd britannique, le Daily Mirror, pour des piratages téléphoniques présumés. Selon des médias britanniques, il poursuit également en diffamation Associated Newspapers concernant un article publié en octobre par le Mail on Sunday, affirmant qu’il n’avait plus de contact avec les Royal Marines depuis son éloignement de la monarchie, qui l’avait contraint à renoncer à ses titres militaires honorifiques.

Le prince Harry, 36 ans, sixième dans l’ordre de succession à la couronne britannique, a dénoncé à de multiples reprises la pression des médias sur son couple et en a fait la raison principale de sa prise de distance avec la famille royale. Officiellement en retrait depuis le mois d’avril 2020, le duc et la duchesse de Sussex se sont installés avec leur fils Archie (20 mois) en Californie. Depuis, ils ont acquis leur indépendance financière en signant de juteux contrats avec Netflix et Spotify, tout en lançant leur propre fondation baptisée Archewell. Un éventuel retour des Sussex au Royaume-Uni pourrait être organisé au printemps 2021, si la crise sanitaire le permet, afin qu’ils prennent part à trois événements royaux majeurs.

Continuant à faire bouger les lignes, Meghan Markle avait pris la plume dans le New York Times en novembre pour annoncer avoir faire une fausse couche en juillet dernier. Une liberté de parole que cette féministe avait difficilement mis entre parenthèses pour servir la Couronne britannique.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*