The Good Lord Bird, Ethan Hawke à l’assaut des tabous de l’Amérique


LETTRE EXCLUSIVE ABONNÉS – Le portrait iconoclaste d’un abolitionniste zélote et d’une poétesse de légende, le retour d’Arsène Lupin. Toute l’actualité des séries, les pépites et les déceptions, par Constance Jamet.

Chers abonnés,

J’espère que le passage à la nouvelle année s’est fait en douceur et que ces mois à venir sauront être à terme plus sereins et insouciants. Sur le front des séries, 2021 a vu le jour dans un big-bang avec, par exemple, des lancements quasi quotidiens sur TF1. Impossible de tout couvrir et de tout voir pour être honnête. Je vais donc pour ce numéro revenir à l’esprit de cette lettre. Une sélection forcément subjective qui reflète mes goûts et mes curiosités. Soit deux biopics anticonformistes, insolents voire anachroniques : Good Lord Bird et Dickinson . Sans oublier une déception, celle de Lupin , un blockbuster rutilant qui oublie de creuser ses personnages et son originalité.

À toutes les séries que je mets de côté comme l’atmosphérique polar La Promesse , l’héroïne politiquement incorrecte de Stumptown ou le séduisant médecin transalpin de Doc , ce n’est peut-être que pour mieux vous évoquer plus tard.

The Good Lord Bird : Ethan Hawke moine guerrier en lutte contre l’esclavage

Un siècle et demi après la Guerre de Sécession, soixante ans après

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