Équipe de France – Léo Dubois : « Les Bleus sont l’équipe à battre »


Léo Dubois assure que les Bleus devront se méfier de leur tirage au sort à première vue accessible lors des qualifications pour le Mondial 2022.

L’équipe de France connaît ses adversaires pour les éliminatoires de la prochaine Coupe du monde, qui se disputera au Qatar en 2022. Les Bleus, tenants du titre, entameront leur campagne de qualification au mois de mars 2021. Ils seront opposés à l’Ukraine, la Finlande, la Bosnie-Herzégovine et le Kazakhstan dans le Groupe D.

Un tirage clément pour les hommes de Didier Deschamps. Mais le sélectionneur s’est montré prudent, lundi soir, au siège de la FFF, en conférence de presse. « On peut parler de ce que vous voulez et avoir des interprétations différentes. On connaît très bien deux adversaires qu’on a déjà affronté ces derniers mois (Finlande, Ukraine). L’équipe de France n’a jamais joué contre le Kazakhstan. Les déplacements seront longs, les températures différentes aussi. Il faudra attendre demain pour le calendrier. Je ne vais pas sauter au plafond par rapport au tirage. Il faudra avoir du respect et de l’humilité par rapport aux équipes qu’on affrontera », a prévenu le Basque, qui refuse tout excès de confiance.

« Les Bleus favoris du groupe ? Sur le papier, oui »

« Le risque c’est de se considérer plus fort que les autres. L’équipe de France sera favorite, mais il ne faudra pas négliger nos adversaires. Il faut toujours avoir du respect par rapport à l’adversaire et avoir la même détermination tout le temps. L’objectif est clair, c’est de se qualifier pour la Coupe du monde », a-t-il ajouté, lucide et déterminé.

Si Didier Deschamps a tenu un discours sous le signe de la méfiance, même son de cloche de la part de Léo Dubois. Le latéral droit de l’Olympique Lyonnais et de l’Équipe de France l’assure : rien n’est fait pour les Bleus. « On connaît bien certaines nations, d’autres moins. Ça ne sera pas une formalité. Seule la première place est synonyme de qualification directe. Il faut l’avoir à l’esprit. Les Bleus favoris du groupe ? Sur le papier, oui. La réalité du terrain est parfois toute autre », a-t-il analysé, interrogé par Le Parisien.

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« Il ne faut pas s’enflammer, même si on a conscience de notre force. De par leur statut de champions du monde, les Bleus sont l’équipe à battre. Chacun de nos rivaux a envie de nous accrocher. On doit être vigilant », a ensuite ajouté le défenseur. Si les Bleus le sont, ils ne devraient pas rencontrer trop de difficultés pour se qualifier…

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