Adriana Karembeu « choquée » : Beau don et grosse alerte sur une profession négligée


Adriana Karembeu a un grand coeur et l’a une fois de plus prouvé. La mannequin, animatrice et actrice de 49 ans a eu un très beau geste envers les infirmières de Monaco, Beausoleil et Menton.

Quand une cause tient à coeur à Adriana Karembeu, elle fait tout pour améliorer la situation. On a pu le voir avec son engagement avec la Croix-Rouge notamment. Et comme l’a dévoilé Nice Matin dans son édition du 3 décembre, la maman de Nina (2 ans) a tenu à saluer le travail des infirmières en offrant 2000 masques à celles de Monaco, Beausoleil et Menton.

Elle n’a pas choisi cette profession par hasard. Comme l’ont dévoilé nos confrères, l’Organisation Mondiale de la Santé avait décrété que 2020 serait l’année des infirmières et des infirmiers, notamment parce qu’elle a voulu attirer l’attention sur le fait qu’il manque 6 millions d’infirmières dans le monde aujourd’hui. Et cela pourrait s’élever à 9 millions d’ici dix ans si rien n’est fait. « C’est ce chiffre qui m’a parlé, qui m’a choquée. Cette pénurie est importante. On sait à quel point leur travail est indispensable à notre vie et, en même temps, on néglige leur situation. C’est vrai qu’il y a une crise sanitaire, mais il ne faut rien lâcher« , a confié l’épouse d’Aram Ohanian.

Adriana Karembeu espère que grâce à sa notoriété elle alertera sur la situation difficile de cette profession qui ne lui est pas étrangère. « Ma grand-mère, dont j’étais très proche, était infirmière. Ma mère est médecin et je m’étais engagée aussi sur ce chemin« , a confié la belle blonde qui a fait trois années d’études de médecine.

L’acolyte de Michel Cymes dans Les Pouvoirs extraordinaires du corps humain a choisi Monaco car la princesse Charlotte, la grand-mère du souverain, qui était infirmière, a créé l’école monégasque de soins infirmiers. « Il faut parler à la jeunesse de ce métier merveilleux, pour qu’ils aient envie de le pratiquer. Il faut aussi qu’ils aient plus de moyens, plus de personnel pour qu’ils puissent faire leur travail« , a conclu Adriana Karembeu.

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