Guillaume de Tonquédec : Qui est sa femme Christèle, son « coup de foudre » éclatant ?


Disputes, quiproquos et règlements de comptes sont au programme de L’Etudiante et Monsieur Henri, dans lequel Guillaume de Tonquedec joue Paul, le fils d’un retraité acariâtre. Heureusement, ce film n’est en rien le reflet de la vie du comédien. En paix, amoureux, il file un amour parfait auprès de Christèle Marchal, la femme qu’il a épousé en l’église de Perros-Guirec – ville d’origine de Madame. Leur, histoire, d’ailleurs, est digne des plus grandes comédies romantiques du cinéma français. Quand ils se sont croisés, pendant les grandes vacances à Trégastel, en Côtes-d’Armor, ils ont fait face à l’évidence.

Après le coup de foudre, la pluie a continué à tomber sur nous

Ce coup de foudre pour Christèle, Guillaume de Tonquedec l’évoque rarement, avec pudeur. S’il amène sa partenaire en avant-première dès qu’il le peut, et qu’il prend aisément la pose à ses côtés pour les photographes, le comédien de 54 ans n’est pas friand des confessions intimes. « Quand je l’ai rencontrée, je ne savais plus comment je m’appelais, je savais juste que j’avais envie d’être tout le temps avec elle, avouait-il toutefois raconté au magazine Nous Deux. Après le coup de foudre, la pluie a continué à tomber sur nous, et pour un Breton comme moi, la pluie n’est pas triste, c’est la source de la vie. Depuis toutes ces années, elle continue à irriguer notre amour.« 

J’essaie d’accepter qu’ils fassent leur propre vie

Nous savons très peu de choses à propos de Christèle Marchal, si ce n’est qu’elle est née en 1966, qu’elle est architecte d’intérieur et qu’elle a offert, à son époux, trois beaux enfants. Ensemble, les amoureux ont accueilli Amaury, Timothé et Victoire au fil des ans. « Ils commencent à prendre leur envol et je mesure combien le temps passe vite, confiait-il en 2017. J’essaie d’accepter qu’ils fassent leur propre vie. Je les sens mieux armés que moi à leur âge.«  Et pour cause. Pendant longtemps, Guillaume de Tonquedec a peu cru en sa bonhommie, encore moins en son pouvoir de séduction. Petit, il n’osait même pas se rendre aux fêtes d’anniversaire de ses camarades de classe. Mais sa « tête de premier de la classe« , comme il l’appelle, et sa timidité maladive ont fini par devenir sa marque de fabrique. Ce n’est pas Christèle, en tout cas, qui viendra dire le contraire…

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