Florent Peyre révèle enfin le prénom de son fils, 4 ans après sa naissance !


Il retrouve enfin la sensation des planches ! Florent Peyre est de retour dans son spectacle Nature, dans lequel il met en scène tous les membres d’une troupe de comédie musicale un soir de première. Si Pascal Obispo est à l’origine de toutes les mélodies, c’est l’humoriste qui se charge du reste. C’est bien simple, il joue tous les rôles : les danseurs, le stagiaire, la productrice… il incarne même sa propre personne. Une bouffée d’air frais pour les spectateurs comme pour lui. Pendant le confinement, c’est son rôle de papa qui a pris toute la place, même quand il essayait d’apporter un peu de rires aux foyers sur les réseaux sociaux.

Il y a eu un moment où c’était dur

« Même si on est fous de ses enfants, il y a eu un moment où c’était dur, avoue Florent Peyre dans le magazine Voici. Mon fils a adoré faire des vidéos à la maison avec moi. Dans ma parodie de Disney, c’est lui qui corrigeait mes chorégraphies en faisant attention à ce qu’on ne voie pas ses pieds dans le cadre. » Rigoureusement discret à propos de sa vie privée, le comédien lâche de plus en plus la bride. On sait désormais que sa compagne s’appelle Virginie et que leur enfant de 4 ans a été baptisé Marius. « On a une relation très fusionnelle avec mon fils, précise-t-il. J’avais même été interdit de crèche parce que je repassais le matin pour le voir. Plus personne ne m’ouvrait au visiophone !« 

On est déjà assez nombreux sur Terre

S’il est raide dingue de son petit Marius, pas sûr que la famille s’agrandisse dans les prochains mois. Après mûre réflexion, Florent Peyre préfère rester en chiffre impair à la maison. « Pas à cause de mon fils, hein ! Mais on est déjà assez nombreux sur Terre, je me dis qu’un enfant par famille, c’est déjà bien, conclut le grand pote d’Audrey Lamy. Entre le Covid et le réchauffement de la planète, l’ambiance est un peu spéciale… et surtout, on est très heureux à trois. » C’est donc ça, « être Peyre« …

Retrouvez l’interview de Florent Peyre dans le magazine Voici, n° 1713 du 2 octobre 2020.

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