Denis Tillinac, écrivain très attaché à la Corrèze


L’auteur, éditeur et journaliste est mort à l’âge de 73 ans. Grand amoureux de la France rurale, il était une figure intellectuelle de la droite.

Denis Tillinac était un grand amoureux de la Corrèze.
Denis Tillinac était un grand amoureux de la Corrèze. Maurice Rougemont/©M. Rougemont/Opale/Leemage

«Il était d’une générosité rare»,«c’était un écrivain inspiré, éditeur magnifique», «un esprit libre, généreux, affectueux»… Des mots de ceux qui l’ont connu, Denis Tillinac était un amoureux de la vie. De droite, certes, mais sous toutes ses facettes surtout. Il fumait, il buvait, il pestait contre le monde entier, mais il l’aimait. Il vouait une passion immense pour Elvis Presley, lui qui se rêvait blouson noir, et adorait Jacques Chirac. Un an exactement après la disparition de cette grande figure de la politique, l’écrivain et éditeur est mort à 73 ans.

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Denis Tillinac était né un 26 mai, en 1947, à Paris. Il n’était pas de ces petits garçons qu’on disait doux et peureux. Non, lui, ce qu’il aimait, c’était la castagne. Turbulent, coléreux, cancre… L’enfant s’est fait renvoyer de multiples fois de l’école. «C’était un sale gosse», s’en est même confessé l’auteur devenu grand dans son autobiographie Caractériel, en 2018, chez Albin Michel.

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