Fabrice Luchini, le théâtre, la ministre et le président… Les confidences du comédien


EXCLUSIF – Sur Instagram le comédien qui cherche toujours la note juste, a connu le même succès qu’avec ses lectures qu’il reprend à Paris.

Par Vincent Trémolet de Villers

Fabrice Luchini sur scène dans Des écrivains parlent d’argent qu’il va jouer aux Bouffes Parisiens à partir du 12 octobre.
Fabrice Luchini sur scène dans Des écrivains parlent d’argent qu’il va jouer aux Bouffes Parisiens à partir du 12 octobre. Philippe Quaisse / Pasco

Quelle que soit la scène qu’il choisit, la lecture qu’il présente, Fabrice Luchini fait salle comble. Alors que la saison théâtrale reprend, on le retrouvera aux Bouffes Parisiens fin septembre. Avec une profondeur espiègle, il se confie sur son confinement, son déconfinement, le jardinage, Blaise Pascal, Baudelaire et La Fontaine. Et éclaire nos temps sombres d’un peu de légèreté, de poésie, de liberté: ce que l’on appelle l’esprit français.

LE FIGARO. – Voilà des mois que vous êtes hors de la scène. Comment vivez-vous cette ascèse imposée?

Fabrice LUCHINI. – Il serait indécent de se plaindre, non? Il y a des problèmes beaucoup plus graves. Pendant cet étrange printemps, j’ai eu la chance d’être dans une maison à la campagne: j’avais de bonnes conditions. Bon, le rendez-vous avec soi-même était imposé et je ne suis pas fan du concept pascalien qui consiste à devoir rester dans sa chambre; j’ai un moteur d’anxiété qui m’entraîne plutôt vers la conquête, mais j’ai eu la chance de m’engager

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