les couleurs du noir pour cet été


DOSSIER -  Les auteurs de romans policiers ont plus d’une corde à leur arc. À côté des cadors du genre, il y a des nouveaux venus prometteurs, comme J. P. Smith, traduit pour la première fois en français.

Marko Poplasen/Shutterstock / Marko Poplasen

En attendant l’arrivée en août du Sud-Africain Deon Meyer, recrue de choc pour la «Série noire», on conseille aux fans de la collection mythique un auteur américain traduit pour la première fois. Sur ce J. P. Smith que nous a déniché la redoutable Marie-Caroline Aubert, on ne sait pas grand-chose. Ce New-Yorkais a longtemps vécu à Londres, où il a publié son premier roman, The Man from Marseille. Cinq autres suivront avant The Drowning en 2019, logiquement traduit par Noyade.

Cela commence lors d’une veillée au coin du feu. Dans un camp de vacances au milieu des bois, des moniteurs racontent aux gamins dont ils ont la charge la légende de John Otis, une sorte de croque-mitaine qui enleva, en 1937, un enfant du camp qu’on ne retrouva jamais. La légende veut que tous les sept ans, un autre enfant disparaisse…

Le temps a fait son œuvre et si ce genre d’histoire peut encore effrayer les plus sensibles des gamins, les autres, habitués sans doute aux films d’horreur, en rigolent en se bourrant

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 96% à
découvrir.

.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*