Trop, c’est trop ! Manon Marsault en a assez de recevoir des remarques désobligeantes au sujet de son fils Tiago. À 2 ans, le fruit de ses amours avec Julien Tanti est considéré par certains internautes comme un enfant avec des difficultés.
Sur Snapchat jeudi 18 juin 2020, sa célèbre mère a donc poussé un coup de gueule, assurant avoir les meilleurs conseils pour lui notamment grâce à la pédiatre qui le suit. « Tant qu’elle, en qui j’ai vraiment 100% confiance, ne me mettra pas en garde sur certaines choses, c’est pas vous, soit des gamines soit des mamans parfaites, qui allaient m’inquiéter ou m’atteindre. Certaines personnes sont tellement malveillantes et méchantes, quand je lis des commentaires comme quoi il aurait du retard parce qu’il ne fait pas encore de phrases… Toutes mes copines mamans, à l’âge de Tiago, leurs enfants ne parlaient pas forcément, donc c’est du grand n’importe quoi ! À 2 ans, avoir le vocabulaire qu’a Tiago, c’est très bien, je suis très fière de lui« , se défend-elle.
Comment pouvez-vous juger un enfant de 2 ans ?
Et pour elle de rappeler le b.a.-ba s’agissant du développement des tout-petits : « Chaque enfant a son rythme, on ne peut pas tout faire en même temps. Il y a des étapes dans la croissance d’un enfant et c’est pas forcément dans le même sens pour tout le monde. Alors, quand je lis que mon fils, c’est une honte, qu’à 2 ans il porte encore des couches, alors là, c’est le pompon ! (…) Comment vous pouvez juger un enfant de 2 ans qui n’est pas propre ou qui ne parle pas parfaitement ? C’est une honte pour vous ! Allez à l’école et revenez parler avec moi. » Manon Marsault est d’autant plus peinée par ce genre de propos qu’elle sait qu’elle peut être suivie par des familles dont les enfants ont de réelles difficultés.
La belle brune appelle donc sa communauté à avoir un peu plus de bon sens. « Mon fils n’a aucun retard, je touche du bois, mais si c’était le cas, vous vous rendez compte que ça ne se fait pas de dire des trucs comme ça ? Il y a des gens pour qui c’est vraiment le cas, qui peuvent être blessés par ce genre de commentaires. Si mon fils même voulait porter des couches jusqu’à 4 ou 5 ans ? Qui lui change ? C’est moi ! Tant que ça ne me dérange pas, c’est comme ça, c’est l’amour de sa mère. » Espérons que cette mise au point suffira à faire taire les mauvaises langues…