Barbara Schulz confinée à Paris avec ses enfants : « Il arrivait qu’ils buggent »


Ce mois de juin 2020, Barbara Schulz est de retour à la télévision dans une mini-série, Romance, diffusée le mercredi soir sur France 2. L’occasion pour la comédienne de 48 ans d’accorder une nouvelle interview au magazine Gala du 11 juin 2020 et de raconter son déconfinement en famille, à la campagne. Dès qu’elle en a eu l’autorisation, l’actrice est partie se réfugier avec enfants et chats dans sa maison de campagne à 80 km de Paris.

« Je suis une fille de la campagne et ça me manquait vraiment, la terre, l’air. Maintenant, j’ai hâte de retrouver mes amis, ma famille… Sans oublier la scène, évidemment. Le spectacle vivant, la foule : ça me fait l’effet d’un paradis perdu« , a d’abord confié la compagne d’Arié Elmaleh. Le confinement n’a pas toujours été facile à gérer avec ses deux enfants, Minne et Jérémy, nés de son précédent mariage avec le publicitaire Romain Hatchuel. « Ça a été parfois dur pour eux, donc il arrivait qu’ils buggent. Mon fils Jeremy a eu 9 ans en confinement. Je lui avais organisé une surprise : tous ses copains lui ont chanté Joyeux anniversaire en visio et l’ont vu souffler ses bougies. Ma fille, Minne, 15 ans, est hypersérieuse et c’est elle qui m’a redonné envie de lire.« 

Avant la crise sanitaire, Barbara Schultz a pu profiter d’une période prolongée au Pays basque, sa région natale, pour tourner la série dramatique Romance, réalisée par Hervé Hadmar, dans laquelle elle donne la réplique à Pierre Deladonchamps et à Olga Kurylenko. « Ma grand-mère de 93 ans est venue faire un tour sur le plateau, elle était ravie. Elle vit à Saint-Jean-de-Luz, j’y ai grandi et passé toutes mes vacances. »

Il y a quelques années, c’est pourtant bien loin du Pays basque que la comédienne s’est ressourcée, en suivant Romain Hatchuel aux États-Unis : « J’étais enceinte de mon fils, encore très travaillée par le décès de mon père arrivé quelques années auparavant, pendant que j’attendais ma fille. Jusque-là, je me freinais à cause de ma carrière. Je me suis rendu compte qu’il fallait vivre (…). Quand je suis rentrée, j’ai beaucoup plus savouré. Aujourd’hui, ce que j’ai me va très bien. »

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