«La Villa Médicis doit devenir un bouillon de culture»


EXCLUSIF – Après un an et demi de vacance, l’actuel directeur des Rencontres d’Arles vient d’être nommé à Rome, cet été.

Sam Stourdzé aux Rencontres d’Arles, en juillet 2017.
Sam Stourdzé aux Rencontres d’Arles, en juillet 2017. BERTRAND LANGLOIS/AFP

Sam Stourdzé, 47 ans, est nommé directeur de la Villa Médicis après une longue vacance romaine. Rencontre avec un conquérant de l’art et un ancien pensionnaire, couronné par son succès à la tête des Rencontres d’Arles.

LE FIGARO. – Votre nomination à la tête de la Villa Médicis est-elle une surprise?

Sam STOURDZÉ. –Il n’ y a jamais eu de candidatures officielles. Donc, je n’ai jamais été candidat. Je dirais simplement que j’ai été sollicité à la fin de l’année dernière et que je suis très heureux d’avoir été choisi. Je connais bien la Villa Médicis pour y avoir été pensionnaire dix-huit mois, il y a douze ans, en 2007-2008. C’est là que j’ai travaillé sur mon projet «Fellini, la Grande Parade» qui a débouché sur l’exposition au Jeu de Paume fin 2009. Elle a ensuite tourné dans quinze musées à travers le monde, de Bologne, Rome, Madrid, Barcelone, Lausanne, Moscou, à Toronto, Stockholm, Rotterdam. Pendant douze ans, j’étais commissaire d’expo indépendant, je l’avais produite et donc je l’accompagnais

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